Tendances : Carove joaillerie et son choker de surfeur

Tendances : Carove joaillerie et son choker de surfeur

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Alexandra Zilbermann, le

Cette jeune marque marseillaise mise sur le mono-produit : le collier de surfeur, en vogue dans les années 70. Mais, ici, point de coquillage (sauf de la nacre), mais plutôt un combo ultra chic de pierres fines, d’or et d’argent.

 

Marie-Caroline Vigneron est encore étudiante en école de commerce à Marseille, mais a déjà créé sa marque de bijoux. Carove joaillerie y est d’ailleurs incubée depuis la rentrée dernière. « A Kedge, je suis accompagnée par des coachs et je bénéficie de cours de chefs d’entreprise qui me permettent de me projeter sur le devenir de marque », souligne la jeune créatrice de 23 ans.

 

           

 

Il faut dire qu’elle a imaginé Carove joaillerie il y a peu de temps et n’a pour l’instant que deux points de vente à Marseille, la bijouterie Cap Ferret et Les Minettes en goguette, le concept store inclusif où nous avons découvert sa marque. « J’ai rencontré Véronique Gonzalez lors d’une réunion à l’Adie et elle m’a gentiment proposé d’accueillir ma marque dans sa boutique ».

Une marque made in Marseille

Comment tout a commencé ? « C’est lors d’un voyage aux Seychelles, chez une tante passionnée de lithothérapie, que j’ai trouvé la bonne idée pour Carove joaillerie ».

« Depuis que je fais mes études à Kedge, à Marseille, je sais que je vais créer une marque de bijoux », nous explique-t-elle.

C’est donc chez elle, dans le 8e, que la jeune femme assemble ses perles heishi (des pierres fines en forme de disque) à ses perles d’or ou d’argent. Sa collection propose onze versions de bracelets et colliers en améthyste, nacre, lapis-lazuli, onyx, apatite bleue, labradorite grise… disponibles à partir de 125 € (modèle argent) et 240 € (modèle or).

« Je vais lancer dès le mois de mars une version plus accessible, en incluant une seule perle or ou argent, ce qui va me permettre de les commercialiser un peu moins cher », souligne Marie-Caroline Vigneron. Mais pour l’heure, elle est en pourparlers avec de jolies adresses marseillaises et parisiennes, « car sur internet, c’est encore compliqué de vendre, étant donné qu’on connaît encore mal ma marque ». Espérons que le retour, depuis quelques étés déjà, de la tendance 70’s du « choker de surfeur » va booster la visibilité de cette jolie marque marseillaise.

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